Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Le temps d'un match à domicile, demain

Pour sensibiliser à la santé mentale, l'Océanic de Rimouski et le CPS font équipe

durée 18h00
27 février 2020
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
email
Par Salle des nouvelles

L’Océanic de Rimouski, l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM), lcana (AQPS) et le Centre de prévention du suicide et d'intervention de crise (CPS) du Bas-Saint-Laurent s’associent pour sensibiliser les gens à l’importance de la santé mentale lors d’un prochain match à domicile du vendredi 28 février lors de la visite des Mooseheads d’Halifax au Colisée Financière Sun Life.


Le match de demain qui se tiendra à 19h30 proposera :

• Un kiosque d’informations du CPS du Bas-Saint-Laurent qui permettra aux partisans de se renseigner sur la santé mentale;
• Des annonces publiques sur la santé mentale;
• Des rappels visuels de l’importance de parler à l’écran géant pendant toute la partie.
 
Cette campagne de sensibilisation fait partie de l’engagement continu de la LHJMQ, de L’Océanic de Rimouski, de l’Association canadienne pour la santé mentale, du CPS du Bas-Saint-Laurent et de l’Association québécoise de prévention du suicide à mettre en œuvre le programme Parlons-en. Ce dernier fournit aux joueurs du soutien en santé mentale et sensibilise les gens à la santé mentale et à la prévention du suicide au sein des collectivités de l’ensemble de la LHJMQ.

L'impact fort d'une équipe

Une composante essentielle du programme consiste à informer les joueurs au sujet de la santé mentale et de la prévention du suicide. Chaque équipe a reçu une formation en santé mentale particulièrement axée sur la prévention du suicide. Chaque équipe est également liée à un intervenant en santé mentale, qui fournit un soutien et des ressources en santé mentale aux personnes qui en ont besoin.

 « L’implication de L`Océanic est un exemple pour la communauté Bas-Laurentienne. C’est l’Équipe de toute une région qui se lie à l’Espace d’Humanité du Centre de Crise pour lancer un message fort que parler sauve des vies », a déclaré Louis-Marie Bédard, directeur général du CPSICBSL.

« L’ACSM salue l’engagement de la Ligue et de ses équipes en matière de promotion de la santé mentale, a ajouté Geneviève Fecteau, directrice générale de l’ACSM Division du Québec et Filiale de Montréal. En participant au programme Parlons-en, ils contribuent à sensibiliser et à outiller les athlètes et leur entourage au sujet de la santé mentale et à les encourager à en parler ouvertement. Car la santé mentale concerne tout le monde ».

Il reste des billets pour le match de demain, à partir de 18$ pour les adultes. Pour obtenir de l’information sur les billets, communiquer avec le bureau administratif de L’Océanic au (418) 723-4444. Pour davantage de renseignements à propos du programme Parlons-en/Talk Today, un site est dédié à la question.

commentairesCommentaires

0

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


15 février 2024

Québec conclut une entente-cadre qualifiée d'historique avec les Innus de Pessamit

Le gouvernement du Québec a signé une entente-cadre, jeudi, avec le Conseil des Innus de Pessamit concernant notamment le développement éolien. Cette entente qualifiée d'historique s'accompagne d'une enveloppe de 45 millions $ devant servir à «favoriser le développement économique et social» de la communauté innue située près de ...

8 février 2024

L'activité physique ne compense pas les méfaits des boissons sucrées sur le cœur

Même la pratique hebdomadaire recommandée de 150 minutes d’activité physique ne suffit pas à compenser les risques de maladies cardiovasculaires associés à la consommation de boissons sucrées, prévient une nouvelle étude menée par l'École de santé publique T. H. Chan de l'Université Harvard à laquelle a participé un chercheur de l'Université ...

5 février 2024

Bienvenue à l'ère du "cardio douillet"

La polarisation politique. Les luttes économiques. Les inégalités. Les changements climatiques. Les guerres. Dans un monde souvent meurtri, il est difficile de blâmer les gens de chercher des moyens de se calmer. Des couvertures lestées aux romans policiers «douillets», en passant par des restaurants entiers et des livres de cuisine basés sur les ...